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blog different
14 septembre 2005

Deux ou trois choses que je sais d'elle

Il y a des petites choses que personne ne sait de moi... Alors puisque personne ne les sait, je vais vous les dire, toutes ces choses que vous n’avez jamais voulu savoir sur moi sans oser les demander, en toute confidence.

-         J’ai découvert par hasard que le seul endroit où je suis chatouilleuse se situe derrière les genoux.

-         Quand j’étais enfant, j’ai lu un conte qui disait que lorsque les enfants dormaient, les peluches se réveillaient et vivaient. Depuis, la cruauté envers les peluches m’est aussi insupportable que la violence envers les animaux. Ma possession la plus précieuse, le seul objet irremplaçable que je sauverais si mon appartement brûlait, ce serait mon ours Grégory, que j’ai depuis mes deux ans.

-         Je suis virtuellement incapable de me laisser pousser les ongles. Non, que je me les ronge, absolument pas, mais soit je suis trop carrée et pas assez chichiteuse pour ça, soit ils cassent. Bref, j’ai toujours les ongles courts.

-         Le livre qui m’a le plus influencée dans ma façon de voyager est un livre d’enfant : Petit Lapin suit son nez. C’est l’histoire d’un jeune lapereau qui part à l’aventure en suivant les odeurs qui viennent chatouiller son nez. Le livre est parsemé d’autocollants odorants à gratter pour libérer leur parfum, qui illustrent l’histoire : un pin, un abricot, de la confiture de fraises... Depuis toujours, je voyage en suivant mon nez, à l’instinct.

-         J’ai un odorat très développé. Je sens les odeurs à travers les portes, je reconnais les gens à leur odeur, j’ai mémorisé un nombre impressionnant de parfums ; chaque matin, l’air sent une odeur particulière, que je catalogue inconsciemment. Quand je sens à nouveau cette odeur, je me souviens de la fois précédente où je l’ai sentie. Je me fais des réflexions comme : cela sent les Hébrides, ou Florence ou l’aube blanche avant les fortes chaleurs du Midi... Après avoir ardemment souhaité être astronome et y avoir renoncé en constatant mon incroyable nullité en physique, j’ai longtemps voulu être nez. Après, écrivain, sauf que cela m’est resté.

-         Depuis 1995, été comme hiver, je porte une bague en argent à chacun de mes deux seconds orteils, achetées en Inde.

-         Je déteste qu’on me lèche l’oreille.

-         Je ne parviens pas à déterminer si je crois en Dieu. Globalement pas, mais cela dépend des jours. Par contre, je suis sûre de ne pas croire aux religions. Je trouve le polythéisme et le bouddhisme pittoresques.

-         Je suis accro aux séries télé américaines des dix dernières années, mais bon, cela finit par ne plus être un secret pour personne.

-         Je suis amoureuse d’un tas d’acteurs vieillissants, que je trouve archi-séduisants : Alan Rickman qui fait super bien le méchant, Liam Neeson trop sexy en kilt, Robert Redford parce qu’on ne se refait pas. Rien à cirer du falot Keanu Reeves et consorts.

-         Dans le film Victor Victoria, il est postulé que l’on est hétérosexuel que tant qu’on n’a pas rencontré quelqu’un du même sexe digne de vous faire changer d’avis. Pour moi, ce serait l’actrice gothique, intrépide et névrosée Neve Campbell. Ne me demandez pas pourquoi.

-         Ce que je rêve de rencontrer, c’est un « no bullshit man ». Yannou vous expliquera. Mais je me contenterai de Matt Damon, qui l’incarne à mes yeux.

-         J’ai détesté le vin rouge jusqu’à l’âge de vingt-cinq ans. Depuis, je rattrape mon retard avec une certaine application.

-         Je suis allergique au pollen, à une classe d’arbres, à trois classes de moisissures, aux poils de lapin et au vin blanc.

-         J’ai douze cicatrices sur le corps, la plupart minuscules.

-         Je suis passionnée par les livres sur les drogues.

-         Malgré mes efforts répétés, je ne sais toujours pas me servir d’une perceuse. Par contre, je sais faire de la peinture, du ciment et du joint de carrelage. Pas mal pour une belette, non ?

-         Je ne repasse pas. Je n’ai jamais repassé. Je ne sais pas repasser. Je ne repasserai jamais. Cet avis tient lieu de faire-part.

-         Je déteste l’or jaune. Je suis incapable d’en porter. Je ne porte même pas les vêtements qui ont une fermeture éclair ou des boutons dorés. En revanche, j’adore l’argent et l’or blanc.

-         Je suis prête à cohabiter avec tous les insectes possibles et imaginables du moment qu’ils ne sont pas mortels. En Thaïlande, je regardais des files indiennes de cafards rentrer sous mon lit en toute indifférence. Pour les araignées, la cohabitation reste possible du moment qu’en envergure, elles ne dépassent pas la taille de ma paume. Au-delà, c’est elles ou moi, et pas de pitié pour les croissants. Je vais chercher un indigène musclé, et je dis : « please, can you squish the spider ? » avec un sourire effrayé, en battant des cils.

-         Je ne crains pas les serpents, je me suis même enroulé quelques pythons autour du cou, mais j’ai une trouille phobique des scorpions. En partie parce que dans ma grande chance, je n’en ai encore jamais croisé. Je vais de ce pas brûler un cierge à Saint-Antoine pour que ça dure.

-         Jamais un homme ne m’a demandée en mariage à ce jour (enfin, jamais sérieusement). Je n’ai donc jamais eu à refuser. Pratique, non ? Quand même, ça me plairait une fois, à titre exotique, une demande dans les règles de l’art avec un genou à terre.

-         J’adore taper le carton. J’adore les cartes, et je peux jouer toute la nuit. J’ai un faible pour la plupart des jeux de société, en particulier ceux qui testent l’intelligence ou la culture générale. Je peux également passer des heures patiemment sur un puzzle, pourvu qu’il soit joli. Bref, je suis la championne toutes catégories de l’occupation pendant les jours pluvieux.

-         La chose que je ne pardonne à aucune condition : que l’on porte atteinte à ma santé. Dans le même registre, j’ai un mépris total pour les médecins incompétents et ignares (et c’est fou ce que l’on en croise, hélas ; heureusement que certains redressent la barre pour tous les autres).

-         Les deux fois où des copines ont tenté de me faire regarder le film érotique Emmanuelle, je me suis endormie.

-         Je ne suis jamais sortie avec un garçon de mon école, de ma fac, ou un homme sur mon lieu de travail. Encore une façon d’échapper aux statistiques...

-         Après avoir vu un film au cinéma, je suis toujours capable de citer de mémoire plusieurs répliques.

-         Je suis météoro-dépressive. A chaque fois que le temps passe du beau fixe au gris plombé, j’ai le cafard. Pour autant, j’adore la pluie, parce que ça arrose le jardin. Et paradoxalement, le temps que je préfère, c’est la bruine vivifiante d’Ecosse.

-         Je collectionne les lampes de mine à acétylène, les lampes chromées des années 70 avec des paillettes qui flottent dedans, les orchidées, les schtroumpfs, et les petites annonces papier des marabouts distribuées dans le métro parisien du style « Maître Charles, protection contre le mauvais sort, réussite aux examens, je fais revenir votre femme. ».

-         Je ne suis plus le tennis depuis que Jimmy Connors a remballé sa raquette, ou presque.

-         J’ai toujours aimé Madonna. La première cassette de musique que j’ai achetée de ma vie était l’album « Like a Virgin ». J’avais dix ans.

-         J’ai failli me faire renvoyer de mon pensionnat de jeunes filles en Angleterre pour avoir organisé en pleine nuit une session de « t’es pas cap ! » qui a réveillé toutes les surveillantes (on n’avait pas fait exprès).

-         Si les toutes les bouffées de cigarette étaient aussi bonnes, légères et parfumées que les deux premières quand on allume la cigarette, je serais une fumeuse invétérée. La première fois que j’ai tiré une bouffée de cigarette, c’est mon père qui m’a fait essayer, un soir devant la tv. C’était avec mes deux demi-frères. C’était une espèce de cigarillo parfumé à la cerise, avec un embout plastique sucré. Rétrospectivement, je me demande bien où ils avaient pu dénicher un truc pareil. La deuxième fois, c’était dans ma période « je fais toutes les conneries du monde au pensionnat », j’avais treize ans, et on crapotait dans l’escalier de service à côté de ma chambre. Un soir, j’ai fumé sept Camel devant un garçon qui me plaisait, et il a été super impressionné. Lui, il fumait des Marlboro, et plus tard, on est sortis ensemble.

-         Toujours au pensionnat, en France, on n’avait pas assez de tables pour étudier le soir, alors on s’enfermait dans les douches, pour avoir un peu de tranquillité pour apprendre nos leçons par coeur. Visiblement, les vieilles habitudes ont la dent dure : je me souviens que la veille d’un concours blanc de Normale Sup, j’ai passé 14 heures d’affilée chez moi, enfermée dans les toilettes, à réviser l’histoire du Japon de l’ère Meiji à nos jours.

-         J’ai fait le mur deux fois ; une fois en vacances chez une amie en Sardaigne, et une autre fois, on a séché collectivement une après-midi de cours en sortant du pensionnat (en France). Bien sûr, les deux fois, on a remarqué notre absence, mais on n’a pas été vraiment grillés.

-         Petite, je jouais aux billes, aux petits soldats, aux schtroumpfs, bien sûr, et je détestais les poupées.

-         J’ai toujours su écrire en miroir à l’envers, de droite à gauche, comme Léonard de Vinci. J’inverse mon cerveau et j’écris à l’envers. Parfois c’est pratique pour écrire en secret quand quelqu’un lit par-dessus mon épaule. Mais en toute sincérité, cela me fait une écriture détestable, très différente de mon écriture normale.

-         Il semblerait que j’aie un certain don avec les animaux...

- Ne le répétez pas, mais je suis totalement ignare en géographie française. Je ne sais placer sur une carte que les villes que j'ai visitées, et comme je voyage toujours à l'étranger... Par contre, demandez-moi de vous citer les états américains ou de placer des villes italiennes sur une carte et je suis incollable... Idem pour tous les pays que j'ai visités. Mon père disait: "Je visiterai la France quand je serai trop vieux pour voyager plus loin". J'ai fini par penser comme lui.

- Mon ignorance crasse des véhicules motorisés et des marques qui les représentent est également un sujet de moquerie. J'assume. Et je continue à dire que je m'en fiche royalement.

- Je n'aime pas le chocolat (sauf, très bizarrement, quand je me mets au régime) et je ne suis pas très fan de sucré en général. Jusqu'à l'âge de douze ans, le seul dessert que j'acceptais de manger, c'était la tarte aux pommes. Un jour, ma mère a fait un goûter d'enfants pour mon anniversaire, avec un gros gâteau au chocolat. Je devais avoir six ans. J'ai pleuré parce que je ne pouvais pas manger mon gâteau. Mère indigne...

- J'adore faire des surprises, mais je déteste que l'on me découvre en train de faire une surprise avant que celle-ci soit terminée. Cela me rend dingue de rage frustrée.

- Je n'ai pas un côté préféré dans un lit, mais d'instinct, quelle que soit la chambre, je dors du côté où se trouve la porte, comme si je voulais me ménager une porte de sortie. Comme c'est toujours de ce côté-là que dort le chat aussi, ça tombe plutôt bien. On m'a récemment dit que c'était la place de l'homme dans le lit, qui est supposé protéger sa belle du danger par ce biais. Ca m'a un peu perturbée, d'autant que c'est un homme qui m'a dit ça, que j'étais dans son lit, et qu'il s'est dit ravi que j'occupe la place du protecteur.

- Quand j'étais petite, je marchais un peu les pieds en canard, et mon frère se fichait de moi: "elle a les pieds plats" (je ne vois pas le rapport, mais bon, les frères...). Il se trouve que j'ai une très jolie voûte plantaire, digne des meilleurs recruteurs de l'armée (pour ceux qui ne le sauraient pas, les pieds plats c'était un grand truc pour se faire réformer), et mon frère m'a tellement cassé les pieds qu'aujourd'hui, je marche droit comme un if. D'ailleurs, je dois reconnaître que c'est un peu plus distingué...

- A chaque Nouvel An, je fais une liste de bonnes résolutions pour l'année à venir. Statistiquement, j'en tiens au moins la moitié. Pas trop mal je trouve. Vous en saurez plus le 31 décembre prochain... (faut bien entretenir le suspense)

- Chez moi, c'est un peu encombré, et j'ai un peu de mal à jeter. Mais bon, je me soigne, et dans 35 mètres carrés, on fait ce qu'on peut.

- Je collectionne les livres sur le Rocky Horror Picture Show, les livres de photojournalisme, les livres sur les volcans en activité, les livres sur les séries télévisées américaines, et les livres sur les carrières souterraines. Autant dire que cela remplit quelques étagères.

- Je suis une éponge à accents. Deux semaines à Genève et je parle français avec l'accent suisse. Et je ne vous raconte pas ce que ça donne quand je me mets à parler anglais avec l'accent australien ou italien avec l'accent sicilien...

-         Je sais siffler avec mes doigts comme un garçon manqué. J’ai passé deux jours à me baver dessus avant d’y parvenir, et c'est une vénitienne dénommée Gilda (la même avec qui j'ai fait le mur en Sardaigne) qui m'a appris.

Allez, en matière d’indiscrétions, cela suffira pour aujourd’hui... Suite au prochain numéro si je pense à quelque chose...

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Commentaires
M
Et moi je suis tombée sur votre blog en cherchant "petit lapin suit son nez" que ma fille a hérité de mon enfance, et qui m'a aussi fait découvrir et l'amour du voyage et la passion des odeurs ...
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B
Bonjour et merci de ce long message.<br /> <br /> Je vais essayer d'apporter dans l'ordre quelques réponses.<br /> <br /> - C'est Mademoiselle, comme la photo en tête de page aurait pu vous le<br /> suggérer...<br /> - l'adresse du site, pour le retrouver: http://www.blogdifferent.com<br /> - zéro tolérance vient de l'anglais "Zero tolerance", le slogan du Maire de New<br /> York Giuliani par rapport à la criminalité. En gros, ça veut dire aucune<br /> tolérance, et cela a eu pour effet de faire chuter drastiquement la criminalité<br /> à New York (et de la faire reculer en banlieue...!)<br /> - je retiens la suggestion pour l'anglais sous-titré, je vais y réfléchir<br /> - il est de coutume, en effet, de présenter les blogs dans l'ordre<br /> antéchronologique, afin que les personnes qui les lisent régulièrement n'aient<br /> pas à dérouler toute la page pour lire le dernier message.<br /> - quant à la différence de ce blog, j'aime à croire qu'elle tient<br /> essentiellement à ma personnalité et à la variété des angles et des sujets<br /> abordés, ce qui détonne, je trouve, dans une blogosphère très thématisée...<br /> <br /> Bien à vous,<br /> BD
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D
A l’attention de Mme, Mlle, M. Blogdifferent<br /> <br /> <br /> Chère Madame, chère Mademoiselle, cher Monsieur,<br /> <br /> J’ai trouvé sur mon écran votre blogdifferent en cherchant « 2 ou 3 choses que je sais d’elle » sur un moteur de recherche, j’ai pas dû tout lire et appuyer sur la souris un peu vite, je recherchais des renseignements sur le long métrage de Godard et pof je tombe sur blogmachin. Bref comment je l'ai trouvé : en cherchant ! Comme il y en a plusieurs millions (source : presse), inévitablement un jour ou l’autre je devais tomber sur un blog. Je tombe sur un blogdifferent, soit. Me vient alors une question : « en quoi est-il différent des autres ? »<br /> <br /> Je suis très curieux, je menudéroule en avant en arrière j’accueille, j’undeuxtroisquatre, je pagesuivante, je voyage. Et puis Godard et Allen en quatre lignes.<br /> <br /> Pour répondre à votre courrier du 22 septembre 2005, <br /> J’ai lu les anciennes lettres, j’ai tout lu d’un coup sauf l’anglais parce que je n’aime pas l’anglais.<br /> J’ai regardé les illustrations.<br /> J’ai musardé.<br /> J’ai pas dû tout lire en relisant bien votre message du 21 septembre 2005 parce que j’ai pas compris qu’il y avait des catégories : j’ai lu un déroulant à l’envers et çà c’est vraiment chiant.<br /> J’explique. Quand on veut lire dans l’ordre la naissance, la puberté, la corde,…, 21 septembre 2005 est en dessous de 22 septembre 2005, çà me perturbe.<br /> J’ai découvert que c’était partout (ndlr : ailleurs aussi) pareil. Ca doit être normal, je m'adapte.<br /> <br /> Je vous suggère par ailleurs de mettre des sous-titres comme au cinéma, comme çà on reste en version originale, on a l’ambiance générale et on comprend le fond, surtout que vous écrivez que vous savez traduire.<br /> <br /> Je ne repasse pas non plus, c’est une perte de temps, je préfère lire, j’essore à 1200 tours/minute ou aller au cinéma et je tire sur le linge pour ne pas le repasser et me donner bonne conscience, je ne bricole guère. L’évier sédimenté avec nouilles fossilisées me semble incompatible avec une tolérance zéro à l’encontre de la saleté. Je pensais que l’art de laver (traité parodique sur la société branchée parisienne) englobait des interventions ponctuelles dans l’évier qui laisse peu de place aux sédiments. En outre je ne comprends pas comment une tolérance peut-être zéro, çà ne veut rien dire. Soit il y a tolérance (en gros ne pas interdire ce qui pouurait être interdit), soit il n’y a pas tolérance. <br /> J’ai découvert que d’autres que vous utilisait ce terme ; çà doit vouloir dire quelque chose.<br /> (ndlr : il a pas été vraiment loquace ni drôle d’ailleurs.)<br /> <br /> Je vous prie de croire, chère Madame, chère Mademoiselle, cher Monsieur à l’assurance de ma considération distinguée.<br /> Deuxoutroisdelle<br /> <br /> PS : j'ai essayé de vous retrouver quelques jours plus tard, j'ai essayé aujourd'hui, vous avez disparu dans les méandres des résultats.
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B
"Bonjour Vous... <br /> <br /> Je ne sais pas repasser non plus. Je n'ai jamais réussi à repasser un seul pantalon correctement. J'écrase un pli quand j'en crée deux autres. Et ça me gonfle depuis des années.<br /> <br /> J'ai parcouru votre blog. J'y reviendrai. Pour le ton et cette énergie charmante qui m'ont séduit...<br /> <br /> MC"
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B
Reçu dans ma boîte mail:<br /> <br /> <br /> "Je me permets de vous contacter, car je me suis mis à rire en tombant par hasard sur un de vos textes expliquant le seul endroit où vous étiez<br /> chatouilleuse (vous l’êtes peut-être toujours, hi hi). Je dois vous avouer que les chatouilles m’ont toujours passionné. L’érotisme et les chatouilles forment pour moi une sorte de monde féerique, où l’imagination peut vagabonder en toute liberté. <br /> <br /> Enfin, voilà c’était juste pour vous dire ceci. Pardonnez moi de vous avoir dérangée. MG"<br /> <br /> J'ai préféré préserver l'anonymat de ce lecteur plutôt discret... D'ailleurs, à ce sujet, VOUS NE ME DERANGEZ PAS! Au contraire, c'est un plaisir de lire vos commentaires, votre subjectivité, vos impressions, vos clins d'oeil. Alors, ne gardez pas vos commentaires pour mon mail privé, ils peuvent intéresser tout le monde, alors, à bon entendeur, osez les en faire profiter...<br /> <br /> Bon dimanche à tous,<br /> BD
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